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Algérie- La première mouture du cahier des charges relatif à la 4G mobile transmise à l’ARPT

Le lancement de la 4G au Maroc était prévu initialement au début 2015.

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La première mouture du cahier des charges de  la technologie 4G de téléphone mobile vient d’être transmise à l’ARPT (Autorité  de régulation de la poste et des télécommunications), a indiqué lundi à Alger,  la ministre de la Poste et des TIC, Houda Imane Feraoun, exprimant le souhait  que le texte « soit prêt d’ici à la fin de l’année ». 

 

 

« La première mouture du cahier des charges de la 4G de la téléphonie  mobile vient d’être transmise à l’ARPT », a déclaré la ministre à la presse   au terme d’une visite d’inspection et de travail à des entreprises relevant  de son secteur dans la wilaya d’Alger. Précisant que les opérateurs ont été associés dans l’élaboration de  ce texte, la ministre a exprimé son souhait que « le texte soit prêt d’ici la  fin de l’année en cours ».         

Abordant la question relative à la qualité des services, Mme Feraoun  a exprimé son « désapprobation » en apprenant du directeur général adjoint d’Algérie  Télécom (AT), Mohamed Habib, qu’un nombre de 43.000 réclamations d’abonnés a  été enregistré sur un total de 2 millions d’abonnés à internet.        

« C’est trop. Qu’en sera-t-il si le nombre de clients serait plus élevé »,  s’est interrogée la ministre, qui a invité les directeurs régionaux de wilayas,  à « plus d’efforts » pour satisfaire les exigences des clients en matière de qualité  de services.         

Les contraintes d’Algérie Télécom

Les dirigeants d’AT ont énuméré, pour leur part, les contraintes  du groupe, dont « le retard dans l’obtention des autorisations de réalisation  de la part des collectivités locales, ainsi que les agressions quasi-quotidiennes  du réseau ».         

Au siège d’Algérie Poste, la ministre n’a pas été convaincue par l’exposé  portant « perspective et modernisation 2015-2019 » de l’entreprise, suggérant  au responsable de « présenter du concret et pas des promesses auxquelles le  citoyen ne croit pas ».